Kuro Goma

Avertissement : cet établissement a été testé avant le règne de Covid XIX... Il est possible que certaines informations ne soient plus adaptées à la situation : horaires, offre, prix…
Sésame noir (kuro goma en japonais), ouvre-toi ! Bienvenue dans l’izakaya tamisé de Maximilien Risch (grande structure en bois clair, lampes en papier de riz), bistrot à tapas nippones bien loin des sempiternels bars à sushis… Un soleil levant radieux qui donnerait presque envie de se faire hara-kiri pour ne pas avoir découvert plus tôt les mets umamiamesques du chef-patron franco-japonais. Sous nos palais médusés, ce soir-là : exquis agenasu – aubergines frites dans un bouillon dashi, topées de daikon râpé et de togarashi ; irréprochables gyoza ; sabrante noix d’entrecôte snackée à la sauce yakiniku, sel au yuzu maison ; réconfortantes croquettes de tofu au panko, ciboule nira et sauce tonkatsu ; impérial buta kakuni – poitrine de porc mijotée au gingembre et chou kale ; avant un verdoyant cheesecake au matcha, chantilly minute zestée de citron – ou une crème infusée au thé hojicha. G.V.
POUR LA SOIF ? Bière blanche Coedo Shiro aux notes de banane et poire asiatique (5,50 € les 33 cl), crozes- hermitage bio du Domaine des Hauts Châssis (6 € le verre) et sakés à foison, dont ceux de Grégoire Bœuf, premier fabricant en France (à partir de 5 € les 12 cl).
LES PRIX : Plats du jour 10,50 à 16€ (midi), tapas 4 à 13,50 € (soir).