Les 400 Coups
Avertissement : cet établissement a été testé avant le règne de Covid XIX... Il est possible que certaines informations ne soient plus adaptées à la situation : horaires, offre, prix…
Un tonneau en balise de seuil, une terrasse free-lance sur pavés de bonnes intentions, le barav’ du trio Puzelat-Tessier-Quastagna, vignerons chantres du sans-intrants, affiche la bonne gueule de la taverne médiévale, poutrée-pierrée-carrelée à souhait. Où l’on ne se contente pas de jouer aux quilles (une quarantaine de références bio-vivantes), puisqu’ony graille aussi ! Du costaud en hiver : cassoulet toulousain, salmis de canard et autres boudins et fritons tarnais griffés Alain Grèzes. Des tapas en été : nougat chèvre-miel-raisins-cacahouètes en douceur ; tapenade d’olives vertes musclée ; ou encore houmous-betterave en couleurs. Sans oublier, toute l’année, des planches de charcut’ de porc noir gascon (saucisson, coppa) et de fromentons d’O Divin Fromage, forts en gueule et divinement affinés : cheddar à la Guinness, brie au poivre et olivet au foin. Les desserts ? Ils connaissent pas… G.D.
POUR LA SOIF ? Fiesta de vins pirates : joyeux gamay pétillant vendômois d’Ariane Lesné, touraine In Côt We Trust musculeux de Bonhomme, charmant chardonnay tourangeau de Vénier (3,50 € le verre) ; corbières blanc Domaine de Montfin, gardois rouge Kalamite d’Agneray et mondeuse Monfarina de Giachino (20-30 € la quille), ou encore incunable gaillac Vin d’Autan de Plageoles 2008 (36 €). Et pour buller, Loirette houblonnée à 4 € la canette.
LES PRIX : Tapas 7 €, plats 5-25 €, planches 7