S’il y a bien un qualificatif qu’on regrette de voir accolé à un PMU, c’est celui de « moderniste ». Tout aussi absurdes : « bouddhiste », « royaliste », « écologiste »… « Réformiste » à la rigueur, si des syndicalistes y pointent après les heures de taf. Mais puisque celui-ci s’appelle Dada, on l’excusera ! Dans une vaste salle mondrianesque, Gaylor Olivier (bartender touche-à-tout) et Émilie Brichard (créatrice de poteries pour les restos) décrassent les buveur·se·s de lavasse en journée avec du café de spécialité et des softs alternatifs. Le soir venu, place est faite aux vermouths vivants, whiskys bien sentis, vins naturels et mousses indé, sans compter les spécialités shakées, comme ce rosé Dadaphone mêlant eau-de-vie de framboise, kirsch et bissap maison, ou Dadasophe mixant liqueur de folle noire, hysope et bitter maison (10 €, 6 € en happy hour). Avec ça ? Une tranche de banana bread vegan à la fève tonka, des cakes (citron-pavot, orange-garam masala), cookies vegan ou pas… 2-3 €), un houmous ou des sardines écrasées aux haricots blancs (tapas 5-7 € à l’apéro), le tout à grignoter devant l’un des films surréalistes projetés au-dessus du comptoir le week-end. // Sianna TD
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