Leurs restos préférés

Les restos préf' d'Anatole Édouard-Nicolo

Vous avez au moins un point commun avec le gratin du chaud business : le goût des bonnes adresses. Chaque semaine, le Fooding passe sur le gril la crème de la crème des icônes modernes, pour qu’ils et elles nous confient leurs plans préférés partout dans le monde.

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  • par
    Julie Zane
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© N'kruma

Il en faut du cran, à 28 ans, pour partager les souvenirs d’une enfance bouleversée dans son premier roman… Anatole Édouard-Nicolo, le petit frère du rappeur Georgio, l’a fait – et avec brio. Maniant aussi bien la plume que la fourchette, il nous conte les moments passés à ses plus chouettes tablées.

La dernière claque culinaire ?

C’était à Manosque, au Comptoir de Marilou, un soir de tournée littéraire. Un resto italien vraiment incroyable, où j’ai mangé des petits cannelloni fourrés au fromage frais et à la menthe.

La bande-son pour cuisiner des plats canon ?

She, de The Blaze. Il faut de la musique assez entraînante pour me motiver, puisque je ne suis pas un super cuisiner…

La recette qui en jette ?

Du poulet au curry et au lait de coco. Je le fais quand on se retrouve à l’appart avec des potes, pour refaire le monde le temps d’une soirée.

Le resto pour prendre le large ?

Mitao (à Pigalle, ndlr), un restaurant chinois où il n’y a que des produits frais et préparations maison !

Sur le feu en ce moment ?

Jusqu’à la fin du mois d’octobre, je suis en promo pour mon premier roman, À l’ombre des choses. Il a reçu le prix littéraire Envoyé par La Poste, ça m’a donné envie de me projeter et de continuer à écrire. J’ai donc déjà commencé l’écriture d’un deuxième roman.

 

Ses restaurants préférés :

Fichon, Paris 18e : « Je crois sincèrement qu’ils font le meilleur ceviche de Paris ! C’est dans ce restaurant que je retrouve généralement mon éditrice pour échanger autour du livre, et désormais de la suite. Comme on a une super bonne relation, c’est toujours un plaisir de se retrouver là-bas. »

Buena Onda Cà Phê, Paris 11e : « C’est un mélange de cuisine vietnamienne et argentine. La carte est très courte, les produits hyper frais. Cet endroit me rappelle de bons moments, j’y vais souvent avec des amis. »

Le Mansart, Paris 9e : « Je traîne beaucoup dans le 18e et dans le 9e, et ici, c’est un peu ma cantine. Je suis assez solitaire, c’est donc pour moi l’occasion de manger seul, en terrasse, et de me concentrer sur mes trucs, sans être trop dérangé. »

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Le Fooding est un guide indépendant de restaurants, chambres, bars, caves et commerces qui font et défont le « goût de l’époque ». Mais pas que ! C’est aussi un magazine où food et société s’installent à la même table, des événements gastronokifs, une agence événementielle, consulting et contenus qui a plus d’un tour dans son sac de courses… Et après l’Hexagone, la Belgique est le nouveau terrain de jeu du guide Fooding !

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