À peine revenu du pays du Soleil-Gourmand, l’acteur et chanteur Aliocha Schneider échauffe sa voix pour régaler la France d’airs nostalgiques. En attendant ? Une tournée trinationale, barbacophile et cinéphile qui en a sous la fourchette !
La dernière claque culinaire ?
Je reviens de Tokyo où je m’en suis pris quelques-unes. La première, c’était à Mon : des plats incroyables, des vins nature, et on était seuls avec le chef ! J’ai aussi découvert le bœuf Wagyu et le tartare de poulet… Une première pour moi !
La bande-son pour cuisiner du très bon ?
La meilleure playlist… c’est quand je suis à la maison ! Avec ma copine, on met souvent des sons qu’on peut chanter, et j’écoute de la soul pour me relaxer : le best of de Bill Withers ou Marvin Gaye.
Le plan casse-dalle d’après-concert ?
Un zèbre à Montmartre, un petit resto où j’aime bien aller assez tard. Ils font un super bon paleron de bœuf.
Le repas anti-blues du dimanche soir ?
Bien Bien, un resto thaï dans le 9e arrondissement. Je ne suis jamais allé manger sur place, mais j’y commande très souvent du bœuf avec du riz, des légumes verts et une sauce un peu épicée.
Sur le feu en ce moment ?
Je commence les répétitions avec mon nouveau groupe. On sera à La Cigale en mars et à L’Olympia en décembre… En tout, une cinquantaine de dates à travers la France cette année !
Ses restaurants préférés :
– Anahi, Paris : « Une ancienne boucherie transformée en resto argentin, qu’on a trouvé par hasard avec ma copine : à travers la vitrine, on a aperçu des bougies qui dégoulinaient de cire, on est entrés… et on a adoré ! On prend une margherita pour l’apéro puis de la viande, qu’ils servent avec des légumes et une purée de pommes de terre. »
– Alma, Montréal : « Un resto découvert pendant le confinement, que j’ai passé à Montréal. Ils venaient d’ouvrir et servaient du poulet dans la rue. Les proprios, qui sont devenus des amis depuis, ont aussi une agence d’importation de vins nature catalans et un petit bar où on peut les boire. »
– New York Bar, Tokyo : « Le resto de Lost in Translation, au 52e étage d’un hôtel ! Une expérience impressionnante : vue sur tout Tokyo et le mont Fuji quand il fait beau, groupe qui joue du jazz… comme dans un film ! »