Hyper, super, ultra-inspirante, elle n’en est pas moins inspirée quand il s’agit de becqueter… La pépite musicale November Ultra, élevée aux berceuses et bons petits plats de son abuelita, met toujours l’humain au centre du repas. La preuve en deux temps tortillas mouvements !
Le plat qui restera ?
La ensaladilla rusa de ma mamie… Je suis capable de me réveiller dans la nuit pour aller en manger en catimini ! Il s’agit d’une tapas espagnole assez étrange sur le papier, mais à tomber : de la purée de pommes de terre froide avec du thon, des petits pois, des œufs durs, des cornichons et de la mayonnaise.
La dernière claque culinaire ?
J’ai joué à Groningen aux Pays-Bas, où trois dames qui étaient venues voir mon concert m’ont offert la spécialité locale : des eierballen, soit des boules de ragoût frites avec un œuf dur à l’intérieur. Très étonnant, mais merveilleusement bon.
La popote qui se transforme en chanson ?
Migas de harina, tortilla de patatas, arroz con garbanzos… Tous les plats espagnols de ma grand-mère ! C’est elle qui me chantait des berceuses quand j’étais enfant, et maintenant, c’est ce que je fais : écrire des berceuses pour adulte. Je lui dois tout. Viva María Isabel !
Sur le feu en ce moment ?
Je vais beaucoup chanter mon premier album Bedroom Walls. Je suis actuellement en tournée en France, avec un Olympia le 17 novembre, ce qui est absolument irréel ! Mais je vais aussi bouger un peu en Europe et aux États-Unis. Sinon, je mijote de nouveaux morceaux et j’aimerais réussir à devenir maître dresseuse dans Pokémon Écarlate… Une année 2023 bien chargée, en somme !
Ses restos préférés :
– La Flotille, à Étretat : « Les meilleures moules à la crème de ma vie… j’en rêve encore la nuit ! »
– L’Épikur, à Plouër-sur-Rance : « Les meilleures galettes du monde. »
– All’Antico Vinaio, à New York : « Les sandwichs italiens parfaits pour se poser à Central Park. »
– Ponto Final, à Lisbonne : « Une vue incroyable et une cuisine simple et goûtue… »