« Envoyer balader, danser tout l’été »… entre deux bouchées de cacio e pepe ! Icône mélanco-pop de sa génération, Adèle Castillon a une dalle de vie qu’elle assouvit sur scène et dans des adresses franchement Fooding. Dernier stop ? La soirée de lancement du Guide 2024 !
La dernière claque culinaire ?
Les cacio e pepe de Casa Bini, dans le 6e à Paris !
La recette qui en jette ?
Je ne suis pas une cuisinière assidue… mais je dirais n’importe quelle recette d’Alex French Guy Cooking.
La dalle d’après-concert ?
Quand je ne commande pas ou ne m’arrête pas dans le premier kebab sur la route, je prolonge la soirée avec des amis que je n’ai pas envie de quitter au 138, autour d’une pizza Margherita. Comme c’est rapide et ouvert toute la nuit, il y a souvent du monde… Mais le moment passé me conforte dans l’idée que j’ai bien fait de rester éveillée !
Sur le feu en ce moment ?
Je viens de sortir mon premier album, Plaisir Risque Dépendance, produit par Surkin. C’est dansant et mélancolique, j’y parle de rupture, d’addictions… mais aussi de thèmes plus légers, autour de l’amour et de l’enfance. Sinon, je serai en concert à La Cigale le 18 avril… Il reste des places !
Ses restaurant préférés :
– Brutos, Paris 11e : « Je change pas mal d’adresses, mais j’aime beaucoup ce resto pour partager une côte de bœuf… Attention, il faut aimer la viande ! »
– Le Collier de la reine, Paris 3e : « Mention spéciale pour leurs œufs pochés ! »
– Gemüse, Paris 18e : « Le kebab de quartier dont je raffole, allez-y les yeux fermés ! C’est l’un des premiers endroits où j’ai mangé quand je me suis installée à Paris. J’y emmène mes amis, j’y passe avant de partir en soirée ou le midi entre deux rendez-vous… »