Quand il ne compose pas à l’ombre d’un arbre sur l’île de Majorque ou ne milite pas contre le réchauffement climatique, Gael Faure câline les scènes de l’Hexagone. Musicien magnétique, disciple de Jean Giono, l’artiste francofaune nous refile ses coups de cœur et de fourchette !
Un bon resto, en deux mots ?
Un bel endroit feutré avec une petite carte de plats simples à base de produits de saison… En gros, un resto où on a envie d’être et de rester !
Le plat qui restera ?
Le lapin à la moutarde de ma mère, sans hésitation.
Votre dernière claque culinaire ?
Au Doyenné, il y a quelques mois avec des amis. Honnêtement, c’était une énorme claque ! Des plats très recherchés, mijotés avec les produits du jardin, et le pain le plus délicieux que j’aie jamais goûté.
Sur le feu en ce moment ?
Je tourne avec mon dernier EP L’eau et la peau. J’ai également monté un spectacle « permaculturel » qui s’intitule Le bruit du blé. On le joue dans des châteaux, des fermes en transition, des jardins… partout en France !
Ses restos préf’ :
– Trattoria II Cerreto, à Pont-de-Barret : « La meilleure pizzeria de la Drôme ! »
– Chez Colette, à Paris : « Des sandwichs et petits plats du jour concoctés avec amour par Céline. »
– Ca na Toneta, à Caimari : « Un lieu hors du temps perché dans les montagnes majorquines. »