Passé maître dans l’art des coquillettes au jambon, le musicien Malik Djoudi gère aussi bien la tournée des bistrots parisiens que celle des salles de concert. La preuve avec une eat-list qui compile tout ce qu’on aime : de la gouaille, du pif et de la voix !
La dernière claque culinaire ?
À Tinos en Grèce, au restaurant Boui Boui : un merveilleux tataki de thon, parfaitement assaisonné…
Le plan d’après-concert ?
J’aime beaucoup aller au Maquis (dans le nord de Paris, ndlr), entre amis, avec ma moitié ou pour le boulot. L’ambiance et l’équipe sont super, la carte change toutes les semaines, et les vins sont surprenants. Mais après un concert, je n’ai pas forcément faim… j’ai soif !
Le plat anti-blues du dimanche soir ?
Tout simplement, les coquillettes au jambon – simple et efficace en toutes circonstances !
L’adresse où vous avez votre rond de serviette ?
L’un des patrons des Arlots est un ami. Il y a un joli comptoir, l’équipe a toujours le sourire, la carte est superbe… On s’y sent vraiment bien !
Sur le feu en ce moment ?
Mon nouvel album Vivant, qui sort le 13 septembre, suivi d’une tournée à partir de novembre. La Cigale, le 3 décembre, est déjà complète, mais je ferai l’Olympia en novembre 2025 !
Ses restaurants préférés :
– Septime, Paris 11e : « Pour l’association des mets et des vins, et la précision qu’ils mettent dans chacun de leur plat. »
– Cuisine, Paris 9e : « J’adore la déco, l’ambiance feutrée, la carte… »
– Kounaria, Aetofolia (Grèce) : « Une petite taverne, dans un village de Tinos, où l’on mange des choses simples, parfaitement cuisinées, et où les tables se posent au fur et à mesure de l’arrivée des clients… Les produits viennent des fermes alentour. »