Depuis mars 2020, Sang-ah, Gregor et Eni, amis de longue date, sont aux commandes de cette cantine de poche au décor épuré. Sixsa ? « Repas » en coréen, et quel repas ! Baguettées ce soir-là, les recettes de la grand-mère de Sang-ah : divins mandus, raviolis frits farcis à la viande et vermicelles ou au tofu et légumes ; crépitant bol de bibimbap bien épicé avec œuf au plat, shitakés, soja, bœuf émincé bulgogi et carottes au vinaigre ; dépaysant japchae, de grosses nouilles de farine de patate douce aux sept légumes, ail et huile de sésame ; kkanpunggi, des morceaux de poulet frit enrobés dans une sauce soja acidulée avec légumes et piments qui arrachent, le tout apaisé par un bol de riz blanc ; avant un irréprochable gâteau roulé au sésame noir et crème yuza de chez Kook Toast. // Laëtitia Sayre
POUR LA SOIF ? Mousse coréenne Cass (6 € les 33 cl), soju Chamisul (14 € les 35 cl), makgeolli (cidre de riz, 12 € la bouteille), bokbunjaju (liqueur de mûres sauvages (21 € les 37,5 cl).
LES PRIX : carte 20-30 €.