Du jus de tomate clarifié, du mirin et de l’encre de seiche : un exemple de ce que vous pourriez trouver dans votre cocktail si vous ouvrez la porte de The Pharmacy. Entre boules disco, slogans en néon et canards empaillés, la mixomagie y produit ses meilleurs tours sous la houlette de Jan Van Ongevalle et sa fille Noa. Sirotes-approuvés l’autre soir : un Poulpe (18 €) mêlant le jus de tomate clarifié, le mirin et l’encre de seiche précités avec du saké, du mezcal et de la vodka, pour une cascade d’umami ; et un Kore-Jan (€ 18), sorte de Margarita à la coréenne, avec tequila Cazadores, mousse de gochujang (condiment au piment rouge), Cointreau et pamplemousse. Sinon, lorgné chez les voisins, un surprenant Smoking Buddha débarqué sous une cloche enfumée, acoquinant trois whiskys, du thé noir lapsang souchong, de l’amande et de la noisette (18 €) ; et pour la jouer no-low, un Lost in the mall mixant cordial de pamplemousse et citron, vinaigre balsamique, mûre, figue et romarin, parmi cinq propositions garanties sans alcool – à chaque soif son remède. // Simo Né
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