De Tokyo, Apo Tsuboi a gardé le goût des comptoirs à déguster, les matières nobles (le bois blond) et brutes (la brique rouge), et les ramen aux bouillons profonds – dont un crémeux miso au lait d’avoine. Tombée en amour pour un Anversois, cinq fois maman et autant de fois mère-grand, elle enfile dans son izakaya tous les tabliers : livreuse, comptable, plongeuse, sommelière… et cheffe, derrière une carte partageuse qui décline les classiques sans se prendre les pieds dans le tatami. Dans laquelle on piocha cette fois-là de glissants gyozas végis, de floconneuses tempura de légumes, un crousti poulet karaage, d’irréprochables onigiri, un kimchi maison, et un brownie au matcha et glace au sésame. // Sugar Kowalczyk
POUR LA SOIF ? Des sakés Wakaze, brassés à Paname par le maître Shoya Imai à partir de riz de Camargue (30-40 € la bouteille), mais aussi quelques flacons naturalistes (comme le catalan Garnatxa Blanca de Casa Mariol à 23 € la bouteille) ou un kombucha maison (4 €).
LES PRIX : ramen 18-20 € (16-18 € midi), tapassiettes 6-10 €, menu gozen 18-20 €.
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