Après l’Australie, l’Angleterre, le Maroc, le Manceau Vincent Bonnin et son épouse australienne Vanessa ont craqué pour le Périgord pourpre et une ancienne closerie qu’ils ont transformée en écrin éco-durable avec animaux et jardin en permaculture. Dans l’ex-étable à vaches, ils ont ouvert un bistrot au look rusti-chic avec cheminée, piano, abreuvoirs. Ce soir-là : pimpante salade de betteraves en lamelles, mousse de raifort, citron confit et pousses de petits pois ; impec saumon d’Écosse gravlax, juché sur une purée de fenouil, petits pois, roquette, oignons, perles de yuzu ; jubilatoire lapin de Monpazier décliné rôti, grillé et confit, titillé par une émulsion d’estragon, haricots coco, fèves, carottes ; avant en final, de la rhubarbe du jardin, rôtie, flanquée de yaourt à la grecque, fraises, mures, gingembre confit, et chapeautée d’un biscuit sablé. // Gérard Roubeix
POUR LA SOIF ? Des pifs sans chimie : rouge de la Tour des Gendres (5 € le verre), blanc du Château Grinou (18 € la quille), organique La Source de Terroir Feely (29 €)…
LES PRIX : menu 36 €.
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