Toujours plus de tables et de pinards chez Sarah Caniot et Nicolas Grandmaison, qui ont mis le gappin sur l’ancienne imprimerie de la place du Peyrou pour agrandir leur repaire et faire une cave à vins. À part ça, rien de nouveau au piano de ce bistrot en briques et béton brut : le duo popote toujours du frais et local sans prétention, avec une salivante formule déj’ alimentée en partie par son propre potager. Ce jour-là : des rillettes de lieu noir tartinées sur une biscotte très crousti ; une saucisse-purée plus que généreuse – ou un filet de mulet avec ratatouille et crème basilic-menthe ; avant un fondant clafoutis aux abricots. Le soir, ça tapasse frenchy : foie gras poêlé, trompettes-de-la-mort et émulsion de whisky ; joue de loup, panko et ketchup de betterave… // Jean Pascal
POUR LA SOIF ? Une centaine de références bio-nature à piocher dans la cave (contre un droit de bouchon à 10 €) : blanc languedocien du Domaine de Mortiès (6 € le verre), rouge roussillonnais Carbo Culte par la Cave Apicole (24 € la bouteille), bulles Viu par le Clos des Vins d’Amour dans le même coin (22 €)…
LES PRIX : menu 18,80 € (midi), tapas 4-14 €, grandes assiettes 22 €, desserts 8 € (soir).
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