Murs de briques, tables et chaises de récup’, rayonnages de quilles et bouquins… Dans sa cave-à-manger à la coule, Laurent Brelin (ex-Caves Madeleine) fait son miel du meilleur : charcuteries auvergnates de Chavassieux, anchois fumés Nardín, cochonneries corses d’Oronce de Beler, chèvres de Dorjelin… De quoi mosaïquer son idée du plaisir, d’autant que Rika, son épouse nippone, y va de son piano : croques ventrus, tataki de charolais de chez Polmard, échine de porc de la ferme du Domaine Prieuré Roch et petits légumes… Pour notre dernier déj’ : salade maraîchère avec froufrou de feuilles de chêne, dés de feta fermière bourguignone, courgettes, haricots verts et tomates, le tout lustré à l’huile de sésame ; poulet karaage à la panure crousti-bluffante ; et tarte à la pâte superbement sablée, garnie de rhubarbe confite. // Thomas Jossin
POUR LA SOIF ? La cave de référence des naturalistes beaunois·es : côtes-de-nuits de l’Australienne Jane Eyre (10 € le verre), assemblage alsacien sylvaner-auxerrois de Catherine Riss (34 € la bouteille), bourgogne rouge d’Arnaud Lopez (48 €)…
LES PRIX : assiettes 6-19 €.
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