Si vous ne pouvez pas boire les vins nature en peinture, passez votre chemin ! Car à Edelrot, du nom de la pourriture noble nécessaire aux grands vins liquoreux, Stijn Schreel et Saraï Cachet, en plus de leur activité vigneronne et cidricole à découvrir sur place, ne castent que des vins sans artifice. À embarquer ou dégoupiller sur des tables en Formica, entre murs de briques et poutres à nu (droit de bouchon 24 €) : un vif assemblage blanc allemand Wilder Satz par Brand Bros aux notes citronnées ; orange belge Le Gewurzt de Mycélium, malbec Grape Invaders du Mas del Périé… Et pour combler tous les gosiers, le/la taulier·ère aligne aussi des bières (dont cette « vière » Hopsnob à base de riesling et houblon (4,80 € les 33 cl), des cidres à la pression et même des boissons peu ou pas alcoolisées (kombucha maison, 3 à 4,80 €). Avec quoi quelques nourritures s’imposent : sandwichs (pulled pork à la coréenne, 7,50 €), plateaux from’ et charcut’ (17-18 €), soupes (4,50 €), spaghettis (14 €) à midi, croquettes aux crevettes, boquerones (7,50 et 5 €), camembert rôti (12 €) le soir, et part de tarte de Marie-Antoinette (5,50 €)… // Anita Kane
LE CANON CANON : La Fine Bulle, un pet’ nat’ alsacien du Domaine Goepp (40 € la quille).
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