Estampes pop, lanternes rutilantes, mangas surannés… À l’enseigne de Ko Ishi (« caillou » en japonais), Christophe Caïola, ex-crêpier biberonné aux anime japonais du Club Dorothée, régale ses ouailles depuis une dizaine d’années à grands coups de nipponités. Son dada ? La cuisine d’Osaka, qu’il a fait débarquer tel le messie que la rue Sainte attendait. Pour nous, l’autre midi, en version originale sous-titrée : dodus takoyaki (beignets au poulpe) ; jouissif okonomiyaki (omelette au chou blanc ensaucée de mayo et teriyaki, flanquée de copeaux de katsuobushi) ; katsudon à base de riz subtilement iodé au dashi, avec lamelles de porc panées, typhon d’œuf battu et oignons confits ; avant un bien bon daifuku maison (boule de riz gluant fourrée de pâte de haricots rouges) ou un détonant tiramisu au matcha. // Victoria Bout
POUR LA SOIF ? Une bière Iki au yuzu (5,60 € les 33 cl), une lager Coedo (6 €) et des sakés – Manotsuru (5,50 € le verre), Tatenokawa (22,50 € le flacon), etc.
LES PRIX : carte 14-30 €.
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