Fresque nipponisante, sol mosaïqué, cuisine ouverte… Dans le nano-izakaya de Benjamin Perrier, il y a à boire et à… manga ! C’est que le chef Yoshi Mantani, bien dans ses fourneaux, sait y faire pour régaler les amateur·rice·s de tapas japonaises. Dans nos assiettes, ce soir-là : des edamame encore tièdes pour lancer les hostilités ; d’umamiesques sardines crues marinées ; de très bons sashimis de saumon ; de superbes gyoza aux légumes ; un généreux buta don à base de riz au jasmin et porc bien parfumé ; et pour s’achever, une décadente ganache choco, ultra-copieuse, avec huile d’olive, fleur de sel et poudre de matcha. Sinon, le midi, c’est donburi pour tout le monde – en version porc fondant, tofu-algues ou hareng fumé. // Jean Pascal
POUR LA SOIF ? Une mini-collec’ de sakés (6,50 à 10 € le verre, 33 à 68 € la bouteille), des cocktails (dont un Tokyo Spring mixant saké, limonade à la rose et fleur d’hibiscus – 10 €) et même quelques vins propres, comme ce côtes-du-rhône blanc des Vignerons d’Estézargues (6 € le verre) ou ce morgon de Foillard (32 € le flacon).
LES PRIX : donburi 12 € (16-20 € en formule déj’), tapas 5-16 € (soir).
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