Après le Dirty Dick et le Moonshiner, le trio gagnant de Liquid Corp (Thomas Crand, Charles Aurambault et Alexis Poirson) ajoute une branche à son arbre et un Bluebird sur la branche. Inspiré par un poème de Bukowski,l’enseigne signale une planque moderniste ultra 50 ’ s, avec pierre de lave, appliques orange et enceintes squattées par Frank Sinatra et Dean Martin. Derrière le bar en revanche, les squatteurs s’appellent bien Pasa Omerasevic et Danilo Grenci. Anciens mixos du Moonshiner, les deux garçons s’activent sur le bois sombre pour honorer une carte qui fait la part belle aux gins (Clover Club au gin Beefeater, beurre de cacao, sirop de framboise maison, blanc d’œuf et jus de citron, 11 €) mais pas que… Petit missile d’amertume fruitée, le Cloud Nine (Philosophe Vodka infusée à l’hibiscus, sirop d’agave et de kumquat, liqueur Merlet Lune d’Abricot, jus de citron et poivre de Timut, 9 €) et les habituels combos sans alcool concoctés à la volée (6-8 €) complètent l’offre. A grignoter : olives de Kalamata (3 €) ou, plus consistant, club sandwich et chips de légumes (9 €). // A.B.
bar
Le Bluebird
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Tous les jours, de 18h à 2h (minuit dimanche).
Le Bluebird (Paris)
© Pierre Lucet-Penato
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