Banzai, le sando se dévore désormais dans les beaux quartiers ! Il suffit de passer une tête chez Benchy, la seconde adresse du fashion designer et consultant Kaito Hori – l’izakaya Sanjo, c’est lui. Dans cette échoppe façon kissaten tokyoïte (murs grattés, comptoir en marbre et béton, suspensions stylées, bande-son jazzy), on la joue en V.O. en s’envoyant le fameux ‘dwich japonais à base de pain de mie mousseux et aérien, ici décliné en version tamago (œufs, mayo nippone et pâte de piment au yuzu), thon (avec laitue, tomates, câpres et même mayo), pastrami (flanqué de chou rouge, moutarde, re-mayo et cornichons)… et même en version wagyu, uniquement sur commande la veille. En dessert ? Encore un sando, cette fois délicieusement fruité (kiwi, fraise, clémentine…) et bien rempli d’une chantilly au mascarpone. En bonus pour les becs sucrés, la série de pâtisseries à tomber : dantesque terrine au chocolat, cake matcha / chantilly, cookie au thé vert hojicha… À coup sûr, on y retournera ! // Albertine Simonet
POUR LA SOIF ? De très bons cafés (3-6 €), un matcha latte au lait d’avoine ou de soja (5 €), du thé vert sencha, hojicha ou matcha (5 €), mais aussi quelques bières et softs japonais (pils Coedo Ruri, limonade au yuzu…).
LES PRIX : sando salé 9-12 € (attention, 48 € pour la version waygu !), sando sucré 8-9 €, pâtisseries 3-5 €.