Après avoir ouvert Cocotte en 2019, les bistrotteurs Ludovic Dardenay et Julien Fouin (boss du groupe Vertigo), le chef Massimiliano Monaco et le sommelier Paul Lacroix doublent la mise en terre lyonnaise, à deux pas de la maison mère. La promesse de Cocozza ? Des pizzas ultra-fines et crousti comme à Rome, à la pâte lentement levée, à base de blé bio moulu à la meule de pierre, garnie d’ingrédients bien sourcés. Ce soir-là, dévorées sur l’une des tables en Formica jaune, à côté de l’imposante trancheuse Berkel : une Frank mêlant fior di latte, speck, fricassée de champignons et persillade ; ainsi qu’une Sauvageonne à se damner, couverte de tomates San-Marzano en sauce, fior di latte, saucisse artisanale, scamorza et cime di rapa. Avant ça, les plus goulu·e·s pourront s’envoyer une grosse boule de bufala ou une assiette de charcut’ ( jambon de pays, speck, prosciutto…), avant un authenkif tiramisu ! // Mado Réassouet
POUR LA SOIF ? Des quilles transalpines : beaujolais Raisin Libre de Paul-Henri Thillardon (7 € le verre), chianti de Majnoni Guicciardini (27 € la bouteille), blanc de macération de Valentina Passalacqua (36 €)… Mais aussi quelques mousses du coin, dont une blonde Garipotte de la Brasserie de la Loire (7 € les 33 cl).
LES PRIX : pizzas 10-16 €, aperitivo 8-10 €, desserts 9 €.
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