« La seule vraie pause qui soit », titre la Gazzetta de Nicolas Van Malbert (entré dans la restauration italienne via Michela Rosa). Caché à une longueur de spaghetti de l’avenue Louise, ce café et déli le matin se la joue micro-trattoria et enoteca le soir. Sous un grand lustre central, mi-verre mi-métal, s’articulent une vingtaine de tables hautes en bois et un italo-comptoir marbré derrière lequel les chefs Emanuele Sireci et Angelo Bonifacio dépêchent ristretto au saut du lit, panini le midi, spritz à l’aperitivo. Mais encore ? Quelques antipasti, deux-trois primi et deux secondi. Edito, ce soir-là : planche de charcut’ mortadellement bonne et 100% Italia ; bella pasta du jour al dente, sauce tomate ensoleillée, salsiccia, aubergine fondante et ricotta salata ; avant, en dessert, un tiramisù… e basta ! // Ambre Oisy
POUR LA SOIF ? Du caffè al bar (comme à Rome) : espresso ou ristretto (3,50 €), cappuccino (5 €)… Ou un spritz (11 €), de la grappa en veux-tu en voilà, mais aussi du pinard italien, nature ou pas : Giandon Rosso d’Il Farneto (26 € la bouteille) et Note di Rosso d’Alessandro Viola (42 €).
LES PRIX : panini 10,40-10,90 €, antipasti 13,50 à 18,90 €, pasta 15,50 à 23 €.
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