Pop coréenne langoureuse, ampoules nues, comptoir en bois clair marqueté, plan de travail en béton… Qu’il a du chien le Mandoobar de Kwang-Loc Kim ! Où, ce midi-là, le boss sud-coréen nous régala de ses incontournables mandoo (raviolis cousins des gyoza japonais, à base de pâte de farine de blé et de riz gluant), fourrés de crevettes, tofu, coriandre et huile de sésame, et de son bulgogi (bœuf mariné à la sauce soja) accompagné de tofu et graines de sésame. La suite ? Un brutaliste tartare de dorade minute, avec sauce soja, épices coréennes, shiso et sarrasin ; une petite salade mêlant chou, soja, poivron, radis jaune et pousses d’ail, le tout fouetté par du yuzu et une sauce au fruit de la passion ; avant une crémeuse boule de glace maison pandan-sarrasin ! // Yvonne Gambetta
POUR LA SOIF ? Du choix en veux-tu en voilà : bekseju (alcool coréen issu de la fermentation de riz gluant et d’une douzaine d’épices, 16 € la bouteille), saké junmai daiginjo (8 € les 8 cl), bière coréenne Cass (6 € les 33 cl), thé fermenté (7 €) plus quelques vins – menetou-salon blanc du Domaine de l’Ermitage (7 € le verre), rouge rhodanien nature du Domaine Barou (43 € la bouteille)…
LES PRIX : raviolis 8-12 € les six, 10-14 € les dix. Tartares 10-12 €, sides 4-6 €, dessert 5 €.