Vélo qui roule n’amasse pas mousse… sauf s’il passe la ligne d’arrivée des Leyreloup, où le café de spécialité d’Alice chope le maillot jaune, ex-aequo avec les biclous de luxe de son mari Julien. Pour tout carburant, du grain sourcé un peu partout, en commençant par le plateau clermontois avec le micro-torréfacteur Clinton Hill, mais aussi de l’Arbuste à Caen, de Mokxa à Lyon, Gardelli en Italie… ou encore de torréfacteurs suédois, voire des US avec l’Elevator de Portland. Tous coulés sur place ou à emporter pour les bikers de passage et flâneurs à panard : classiques doppio et mocaccino, cool cold brew infusé 24 heures, espresso tonic, latte au sirop de lavande maison… avec une part belle à la catégorie escargot (Aeropress, Chemex, V60). En sus, un peloton de desserts maison sans lactose, comme les mini-amaretti tout craquelés, le brookie tiède ou le cake citron-pavot, à déguster en zieutant casques et pignons brillants ou sur l’un des fauteuils au fond de la boutique. // Angela Dolu
LA PÉPITE : la cascara, de la pulpe de cerise de café séchée, servie en infusion glacée avec une goutte de sirop d’érable (5 €).
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