Bien dans son Epoq, Anthony Orjollet donne un nouveau coup de pédale à sa quête terroiriste. Dans son épicerie née de la coviderie, entre deux planches de skate christiques, éclairée par des appliques dorées, que du fait-maison (gomasio aux algues, kombucha fermenté sur place, granola à la pistache…) et du fait-bon, en direct des producteur·rice·s de la région : indécent pâté au piment d’Espelette d’Éric Ospital (6,50 € les 180 g), miel de fleurs sauvages prélevé dans les Landes (10 € le bocal), kiffantes sardines espagnoles à l’huile (3,50 € la boîte), ou encore cookies de Hungry Belly livrés le matin-même (2,50 €). Et côté vins ? Du glou, beaucoup de glou, de 15 à 35 € la quille (Costadila, Matassa, Descombes…), à déguster sur place, moyennant droit de bouchon, avec des tapassiettes qui tabassent. // Linda Manca
LA PÉPITE : le sel de cajou, méli-mêlant sel, poudre de noix de cajou, graines de sésame, curcuma, cumin et autres épices, pour mitonner le goût de l’Epoq chez soi (8 € les 140 g).