Un trip chez Kunitoraya, ça se mérite ! Avant de vous asseoir dans la cantine à udon la plus salivante de Paname, il vous faudra sans doute faire le pied de grue sur le trottoir… Une fois à l’intérieur (briques rouges, poutres grattées, grandes tables en bois) ou sur la micro-terrasse, la slurperie des grosses nouilles de blé maison peut commencer : chaudes dans une soupe miso chargée de radis, salsifis et dentelles de wagyu, ou froides dans une sauce emballante à base de soja, accompagnées de crevettes en tempura, bandelettes de tofu frites et paillettes d’algue. À noter que la maison maîtrise aussi les autres classiques nippons, tels que le poulet karaage, le tonkatsu, l’omelette roulée ou encore, pour celles et ceux qui ne savent udonner de la tête, le donburi – dispo en version poulet, beignets de crevettes, bœuf wagyu… Côté desserts, le mochi au yuzu fait bien l’affaire. // John Mason
POUR LA SOIF ? Une bière Kirin (6 € le demi), du thé vert glacé (4 € les 33 cl) ou du saké junmai (10-12 € les 10 cl).
LES PRIX : udon 14-28 €, assiettes 5-30 €, mochi 5 €.
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