Un trip chez Kunitoraya, ça se mérite ! Avant de vous assoir dans la cantine à udon la plus salivante de Paname, il vous faudra sans doute faire le pied de grue sur le trottoir… Une fois à l’intérieur (briques rouges, poutres grattées, grandes tables en bois) ou sur la micro-terrasse, la slurperie des grosses nouilles de blé maison peut commencer : chaudes dans une soupe miso chargée de radis, salsifis et dentelles de porc, ou froides dans une sauce emballante à base de soja, accompagnées de crevettes en tempura, bandelettes de tofu frites et paillettes d’algue. À noter que la maison maîtrise aussi les autres classiques nippons, tels que le poulet karaage, l’omelette roulée ou encore, pour celles et ceux qui ne savent udonner de la tête, le donburi – dispo en version bœuf, porc pané, thon gras, anguille fumée… Côté desserts, le mochi bien l’affaire. // Albertine Simonet
POUR LA SOIF ? Une bière Kirin (5 € le demi), du thé grillé (4 € la tasse) ou du saké junmai (10-12 € les 10 cl).
LES PRIX : udon 14-26 €, assiettes 5-30 €, moshi 5 €.