Virtuose du tire-bouchon passé par The Fat Duck à Londres, Alexandre Dulière en a servi plus d’un·e : Robert De Niro, feue Elizabeth II… Revenu ensuite au pays, il réveille depuis lors les gosiers berrichons dans son barav’ au look racé et à l’ambiance feutrée – comptoir boisé, mobilier fifties, murs bleu-gris, affiches de design scandinave. On y joue d’un étourdissant casting de plus de mille références vinales, servies avec l’inépuisable tchatche du boss et le plein de petites assiettes bricolées de beaux produits : jambon de Parme, pâté marin, tartare d’algues, rillettes de saumon, thon et saint-jacques de la conserverie groisillonne Groix et Nature, chèvres de Vierzon, etc. // Albert Gredinbar
POUR LA SOIF ? Une encyclopédie du bien-boire où piocher notamment d’étonnants vins arméniens, whiskys indiens ou bières artisanales canadiennes. Parmi les jajas à l’affiche ce jour-là : un combo rouge ardéchois vauclusien du Château de la Selve (5 € le verre), un chianti estampillé Fattoria Le Fonti (7,50 €) ou encore un riesling allemand du Domaine Wittmann (45 € la bouteille).
LES PRIX : tapas et planches 6-17 €.
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