Bière qui coule n’amasse pas mousse ! A force d’y tremper ses lèvres, Sébastien Albanese (Achille) a fini par trouver l’idée coquine : ouvrir une bièrothèque. C’est ainsi que naquit Le Barboteur en 2015, qui n’est pas dans un bar, attention ! mais une institution communale. Riche d’une sélection béton de 300 cervoises, dont vingt à la pompe, renouvelées souvent. Cette semaine-là, au comptoir, on sert on tap la Sécular de la Brasserie de la Source, une sour gruit à 6 % aux notes de coriandre, miel et anis (3,80 € les 25 cl), la Meert aux baies de sureau de Tilquin, un lambic à 5,5 % (6 €) ou la Stouterik de la brasserie de la Senne (3,80 €), qui porte bien son nom. Le stam café crée l’animation en proposant des Tap Take Over mensuelles, où les potos brasseurs d’ici et d’ailleurs ramènent leurs fûts de bibines micro-brassées pour le week-end. On en profite sur la maxi terrasse estivale que tout Schaer’ lui envie. Et parce que manger c’est pas tricher, on accompagne tout ça de planches de charcut’ et pue-bons locaux (8,50 à 15 €) et de flammekueches qui font plaiz’ (8,50 à 11,50 €). // Jessica Fletcher
LE CANON CANON : L’IPA de Papa, brassée en exclu pour le Barboteur par la nanobrasserie L’Ermitage à Bruxelles (3,30 € les 25 cl au fût).
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