À la recherche du meilleur canard laqué du coin (coin) ? Il vous faudra pousser la porte d’un garage d’une zone indus’ d’Haren, à deux pattes de la chaussée de Haecht… autrement dit, ça se mérite ! C’est là que l’atelier Lee Chi Ko, du nom d’un maître rôtisseur chinois qui a passé le flambeau à ses fils Albert et Steven depuis, prépare les volailles depuis plus de trente piges pour l’horeca ou au détail. Les bêtes y sont marinées sucré-salé dans la plus pure tradition (soja, miel, épices, vinaigre de riz…) puis lentement rôties, pour un résultat qui cloue littéralement le bec. Mais il est aussi possible d’embarquer de l’échine de porcelet, elle aussi sucrée et subtilement épicée, ainsi que de la couenne croustillante de poitrine de porc à la coupe, histoire de compléter ce tiercé de rôtisserie gagnant ! // Bobby Lapinte
LA PÉPITE : le canard laqué, forcément, à choper entier (17 €) ou désossé sous vide (19 €). Le poulet du dimanche a du souci à se faire.
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