Actus

En amont du Nouvel An vietnamien, le collectif Banh Mi investit samedi le Point Ephémère (Paris 10e) pour organiser le Cảm ơn day. Au menu ? Expos de photos et d’illustrateur·rices, ateliers de cuisine vietnamienne, conférences, projections, showcase et DJ sets, pour se rassembler, partager et célébrer l’année qui vient de se terminer. Toutes les infos ici.

À Pont-Croix, dans un Finistère tout sauf amer, le câlinant bistrot Glaz (Meilleure popote du guide Fooding France 2025) recherche un·e chef·fe de partie et une commis·e pour attaquer en cuisine début février. Si ça vous chauffe, envoyez votre plus beau CV à bonjour@glazrestaurant.bzh.

Pour les derniers jours d’ouverture du néobistrot Epoq à Biarritz, le chef Anthony Orjollet a mitonné des événements aux petits oignons : menus spéciaux par des chef·fes et vigneron·nes invité·es, mode bar à vins après 22h30, collab’ avec les meilleurs casse-croûteurs de la région… De quoi s’enjailler comme il se doit jusqu’à samedi ! Pour ne pas en perdre une miette, c’est ici.

Jeudi soir à Bruxelles, le barav’ Tarzan reçoit le vigneron Jean-Pierre Frick pour une soirée rythmée par un menu spécial en 5 services, et, bien sûr, des accords mets-vin sur mesure. Résas urgentes par là.

À Vernon, la team de Blossom (Meilleur bistrot à flot du guide Fooding 2025) organise le 18 janvier sa première fried chicken party. De quoi se lécher les doigts dès 19h et jusqu’à plus faim, au rythme d’une bande-son des années 90 et 2000. Mais attention, c'est sans réservation ! Plus d'infos par là.

À Paris, Le Servan (Meilleur bistrot du guide Fooding 2015) embauche un·e chef·fe de rang dès que possible. Au menu ? Un CDI, des semaines de 4 jours et des possibilités d'évolution. Si ça vous tente, envoyez votre plus beau CV à katia@restoreve.com ou maxime@restoreve.com.

Demain à partir de 22h, le Mary Celeste (Paris 3e) lance une nouvelle session de ses Bols de Nuit. Et cette fois-ci, c'est le cofondateur du lieu, Joshua Fontaine, qui passe en cuisine pour mitonner sa version du Clam Chowder, une onctueuse soupe de palourdes originaire de ses terres natales, la Nouvelle-Angleterre. Pour ne pas en perdre une goutte, c'est par là.

Dans le Marais, le néobistrot Pluto laisse les manettes du déj’ à Kenzo Thiep Tu jusqu'au 18 janvier ! Au programme du chef, des assiettes sans frontières inspirées de souvenirs globe-croqueurs de ces dernières années… Pour réserver votre place, rendez-vous ici.

Après avoir embrasé le Pays basque pendant six ans, le chef terroiriste Anthony Orjollet éteint définitivement les fourneaux de son resto biarrot Epoq afin de voguer vers de nouveaux horizons… Pour ne rien louper, c'est par là.

À Paris, la table Gramme 11 engage urgemment un·e responsable de cuisine, un·e cuisinier·ère pour fricoter les brunchs du week-end et un·e chef·fe de partie pour officier du mercredi au dimanche. Si vous voulez faire partie de l'équipe, envoyez votre CV bien gratiné à grammeparis11@gmail.com.

Pour son végénial resto Datil (Meilleur esprit d'équipe du guide Fooding 2024), la cheffe Manon Fleury recrute au plus vite un·e pâtissier·ère en CDI, ayant au moins 2 ans d’expérience. Au programme : 8 services par semaine, avec créativité et autonomie sur les propositions de desserts. Vous voulez mettre la main à la pâte ? Envoyez votre CV et une lettre de motivation à candidatures@datil-restaurant.fr.

Dans la station des Arcs 1800 (Savoie), le barav' Chez O'gust organise samedi la troisième édition de La Grande Descente : un rassemblement de chouettes vigneron·nes, avec un dîner aux petits oignons et... une descente à ski ! Pour planter le canon et le bâton, c'est ici.

À Paris, le comptoir à chawarma Broche recherche une personne pour assurer le service des déjeuners du jeudi au lundi, soit un poste de 20h hebdomadaires à pourvoir dès le mois de février. Si ça vous broche, envoyez votre plus beau CV à louise@adar-paris.com.

Après cinq ans de très bons et joyeux services, la cave à manger rennaise Pénates va baisser définitivement le rideau d'ici la fin de la semaine, pour vivre de nouvelles aventures coolinaires. Pour ne pas en perdre une miette, c'est par là.

Le Fooding présente toutes ses condoléances à la famille d’Emmanuel Delavenne, cofondateur des hôtels Amour, où ont été notamment organisées les remises des prix des Guides 2006 et 2016. Alexandre Cammas, fondateur du Fooding qu’il a dirigé jusqu’en 2021, lui rend hommage dans une tribune libre à lire ici.

À Paris, la fromagerie, cave à vins et sandwicherie Olga recrute une personne à temps partiel pour assurer le service de l’ensemble des victuailles. C'est vous ? Envoyez votre plus beau CV à labuvette.paris@gmail.com.

... Rivage ! Les capitaines du mythique Petit Hôtel du Grand Large ayant mis les voiles, c’est Pauline et Thomas Le Morlec, qui ont repris la barre de cette auberge teintée d’iode, sur la côte sauvage de la presqu’île de Quiberon… Pour lire la chronique, par ici.

... Povera ! Avec ses murs grattés jusqu’à l’os et sa déco plus-dépouillée-tu-meurs, Povera aurait vite fait de passer pour un bar abandonné. Très vite fait, puisqu’une fois l’heure de l’apéro sonnée et le patron installé Maxime Potfer, les lieux ressuscitent au son des shakers et des glaçons. Pour lire la chronique, par ici.

... remis à Iñaki Aizpitarte, proprio du Chateaubriand à Paris (Meilleure table du guide Fooding 2007), qui s’est replié dans sa base arrière pour (re)déployer son talent bistrotier au piano d’une vieille institution luzienne restée dans son jus. Pour lire la chronique, par ici.

... Oobatz ! Sans toit ni (four à) bois, Dan Pearson s’était déjà fait un nom majuscule en transmutant, le temps d’un intérim, le royal Rigmarole de Jessica Yang et Robert Compagnon en Pizzamarole Royce de la pizz’. Pour lire la chronique, par ici.

... Le Flores ! Entre Uzès et Avignon, le coquet Flores est l’étape parfaite avant ou après une session trempette au pont du Gard. Le plan : se visser sur une chaise style Baumann ou, encore mieux, en terrasse à l’ombre d’un grand pin ou sous l’auvent rayé du restaurant... Pour lire la chronique, par ici.

... La Turlutte ! Coup de filet au Cap-Ferret ! Rue des Goélands plus exactement, où Nathan Allard et Tom Netzer tranchent le lard aussi bien que le bar, et font rimer estomacs bien lestés et quilles sourcées. Pour lire la chronique, par ici.

... L'Arpaon ! Preuve supplémentaire, s’il en fallait une, que le dix-huitième n’est pas le dernier des arrondissements bistrologiques, cet Arpaon de Yann Botbol, Nathan Sebagh et Yann Derout, reprenant une formule qui a prouvé son efficacité. Pour lire la chronique, par ici.

... Gallianne Delaforge de Juste une Lichette ! Quand elle ne pioche pas ses vignes dans la vallée du Haut-Allier avec son mari Quentin, cette ancienne étudiante en droit passée par le Saint-Eutrope tutoie les terroirs avec panache pour un boire meilleur et surtout mieux. Pour lire la chronique, par ici.

... l'Hôtel du Couvent ! D'un ancien monastère du XVIIe à l’Hôtel du Couvent, il n’y a qu’un divin pas ! Franchi lentement mais sûrement par Valéry Grégo, fondateur du groupe britannique Perseus, à l’initiative de ce sublime établissement arborant cinq étoiles dans le Vieux-Nice. Ici, l’habit fait le moine... Pour lire la chronique, par ici.

... Glaz ! Amer, le Finistère ? Pas dans le cajolant resto de la sommelière Émeline Macé et du chef Tanios Nakhlé-Cerruti, qui font avaler des couleurs au cap Sizun : carreaux teinte mer (glaz en breton), mur sauge, grands tapis tissés… Et dans les assiettes, rien que de la tendresse. Pour lire la chronique, par ici.

... Elizaberriko Exteberria ! Retour aux sources pour la restauratrice solidaire Eva Jaurena, son compagnon cuistot Alex Mahood et une poignée de locaux, qui ont ranimé une vieille auberge agonisante sur les hauteurs d’Hasparren. Là, le British fait mieux que du bouche-à-bouche au quartier Elizaberri avec ses canailleries franco-espagnoles. Pour lire la chronique, par ici.

... Café Enez ! Il y a un siècle, les rues portuaires de la ville du poiscaille en boîte résonnaient de la colère de ses sardinières, leur grève historique marquant d’une pierre blanche l’histoire féministe et ouvrière. C’est peut-être ce parfum de révolte qui a poussé la cheffe Mahaut Le Lagadec à investir l’ancien Poullig, face aux mythiques Halles, pour y installer son Café Enez de quartier. Pour lire la chronique, par ici.

... Café Bélardi ! Luminaires seventies, zinc d’époque, carrelage beigeasse et bouquins de cuisine, le tout habité par une paire gagnante : l’œnophile Quentin Pierre-Antoine, et la cheffe Agathe Baulu, passée chez Guérard, Bras et à Providence… Laquelle dépote une pimpante formule déj’ à 20 balles. Pour lire la chronique, par ici.

... Blossom ! Amarré à sa Seine natale, Gabin Rodes se la coule très douce dans cette cambuse nordique, à la vue pas piquée des hannetons, où s'enfiler une carte blindée de produits normands sourcés à 100 kilomètres à la ronde grand max. Pour lire la chronique, par ici.

... Le Bistrot des Rosiers ! Éclos dans la Krutenau à grand renfort de mobilier chiné, le néobistrot d’Anne-Sophie Barth et Bérengère Pellissard jardine une cuisine du marché fine et efficace, végétale sans être tout à fait végi, portée par un service aux petits oignons. Pour lire la chronique, par ici.

... 19 Saint Roch ! Après des escales de haute volée dans la capitale et à Arles, en plus de quelques migrations internationales, Pierre Touitou a atterri en majesté rue Saint-Roch. Son nid ? Un ancien resto japonais remplumé de tomettes monochromes, bois massif et miroirs traversants, où il déploie une carte au sommet. Pour lire la chronique, par ici.